Albert-Jacquard
Interview et explications en vidéo
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L'Aïkido est "un art ",
il n'a absoluement rien à voir avec un sport même martial
Pour obtenir un champion il faut casser, briser plusieurs milliers de
candidats.
Combien d’enfants de treize ans ont les genoux et la colonne vertébrale
massacrée à vie
par la gymnastique ? Des champion(e)s qui n’avaient pas 20 ans ont même fait
des procès
leur fédération sportive pour ces raisons.
Pour gagner certains champions n’hésite pas se doper au péril de leur vie !
Le sport est donc un monde de malade et il n’est surtout pas bon pour la
santé,
c’est même l’inverse.
Les athlètes de haut niveau sont particulièrement
fragiles exposés à toutes sortes de maladies car leur système immunitaire
est défaillant
car ils sont appelés à dépasser leurs limites en permanence.
Vous êtes incités à dépasser vos limites constamment pour vous y aider,
on hésitera pas à vous donner des produits.
80 % des coureurs du tour de France suivent un traitement pour insuffisance
respiratoire,
ces drogues sont bien sûres autorisées et ne déclenchent pas de dopage
positif.
La maîtrise d’un art comme l’aïkido, c’est l’inverse.
Un art et une pratique personnelle adaptée à soi-même.
Toute l’étude qui conduit à la maîtrise de l’aïkido consiste à prendre
conscience
de ses limites, tant du point de vue physique, mentale, connaissance de
l’aïkido
et du monde martial. Dépasser ses limites se mettre en danger,
c’est ne rien maîtriser une situation qui ne doit jamais arriver pour un
pratiquant
d’art martial.
La maîtrise d’un art comme l’aïkido, c’est l’inverse.
Un art et une pratique personnelle adaptée à soi-même.
Toute l’étude qui conduit à la maîtrise de l’aïkido consiste
à prendre conscience de ses limites, tant du point de vue physique, mentale,
connaissance
de l’aïkido et du monde martial.
Dépasser ses limites se mettre en danger, c’est ne rien maîtriser donc une
situation
qui ne doit jamais arriver pour un pratiquant d’art martial. Un manque de
maîtrise !
Un médecin compétent ne vous conseillera jamais de faire du sport, mais il
vous conseillera
une pratique physique adaptée à votre âge.
Albert Jacquard est un savant français qui ne connaissait même pas l’aïkido
ni même la
philosophie
orientale est arriver aux mêmes conclusions que l’aïkido traditionnel,
car ce n’est que l’expression de la sagesse.
80 % des pratiquants d’aïkido sont persuadés de faire du sport en pratiquant
cet art
martial.
Sans parler de ce qui n’ont jamais pratiqué et qui vous donne l’impression
de connaître
l’aïkido.
Là encore une règle martiale : « ne faire confiance à personne ».
Impressionnant ?
Il n’est donc pas étonnant que ce soient les mieux formatés,
les plus instruits, ce qui n’ont plus aucun sens critique, ni aucun recul
qui se fassent le
plus
facilement manipuler. Comme on a pu le constater très récemment.
Quelqu’un de peu formaté par le système scolaire ou qui a su prendre du
recul et comprendre
ce qu’il est réellement, ceux-là ont un sens critique développée, instinctif
qui ne passe pas par le savoir où l’instruction mais qui sentent
immédiatement l’arnaque.
Instruit n’a jamais voulu dire intelligent.
L’éducation martiale « reishiki » permet donc aux
pratiquants d’aïkido
d’identifier
instantanément tout potentiel danger, sans faire appel à des notions
intellectuelles.
Les sports martiaux japonais
Ont des compétitions et donc des champions, des entraîneurs, des
techniciens entraînent
donc ces champions.
Leur fonctionnement et sportif aucune différence entre la boxe, le karaté,
le judo, la
lutte, le rugby,
c’est la même dans partout dans le sport.
Seul l’expression corporelle change encore est-elle bien normalisée.
Un sport martial est un art martial au départ, qui s’est dégradé avec le
temps pour se
mettre
au plus bas niveau celui d’un maximum de public et qui a troqué ses
objectifs martiaux pour
des objectifs sportifs financiers et glorification de l’ego.
Les arts martiaux japonais
N'ont pas de champion puisqu’il n’y a pas de compétition. Leur
fonctionnement spécifique
alors art afin que les artistes puissent s’exprimer au mieux.
Les maîtres sont les gardiens de ces « arts martiaux ».
Impossible de pratiquer correctement un art sans suivre l’enseignement d’un
maître.
Toute comparaison de l'aïkido avec le sport est stupide et démontre une ignorance
crasse.
Le pratiquant est donc obligé de faire des choix on ne peut pas pratiquer à
la fois
un sport et faire exactement l’inverse en pratiquant un art en espérant
avoir un résultat
car on est un menteur, on ne peut pas faire tout et son exact opposé.
Quel que soit le domaine, c’est la cohérence qui donne des résultats,
l’incohérence ne mène à rien c’est le monde de la consommation bête et
stupide.
L'aïkido de Morihei Ueshiba
se transmet de maitre à disciples
La tradition dont dépend
le reishiki et les notions : reishiki, sempaï / kohaï
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Le pratiquant d’aïkido doit savoir où est sa place où sont ses limites.
Savoir où est sa place fondamentale en aïkido et dans la pratique martiale japonaise.
La transmission se fait de maître élève, si on ne sait pas qui est le maître
et qui élève on est incapable de savoir qui est le sempaï de qui est
on ne peut même pas saluer son vis-à-vis.
On ne salue pas de la même façon un sempaï ou un kohaï.
Votre place et vos relations avec les autres
pratiquants vous sont indiquées par le schéma filiation ci dessue...
On ne peut pas faire d'aïkido si l'on ne sait pas cela...
La pyramide vous indique le developpement de l'aïkido traditionnel
Historique de l'aïkido en France et en Europe le connaitre est fondamental.
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Le reishiki, sempaï /kohaï par les uchi deshi du dojo d'Alain Peyrache
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Alain Peyrache sensei
est le professeur de Stéphane Villepontoux
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Principe de base lorsqu’on étudie un art martial "on ne renforce pas l’ennemi".
Un pratiquant d’aïkido ne se comporte pas comme tout le monde.
Il agit selon ses critères
en cohérence avec sa recherche martiale.
C’est à cela que l’on reconnaît le vrai pratiquant, du consommateur de fitness.
Il n’a donc rien à partager avec des gens différents,
qui sont dans un réseau social tels les moutons de Panurge,
pour faire comme tout le monde, parce qu’il y a tous ses amis.